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5 mai 2012 6 05 /05 /mai /2012 03:28

Après quasiment 24 heures de bus, nous revenons à notre point de départ : Salta, où nous y passerons la nuit, afin d'enchaîner un bus, le lendemain, pour la frontière bolivienne. Le jour suivant, nous arrivons donc à Villazon, en Bolivie, à 3800 mètres, où nous terminons nos emplettes de remplacement du "vol", en achetant des pulls en Alpaga, tricotés main, bien chauds, à seulement 7 €, une veste "North Face" à 30 €, un stock de feuilles de coca pour supporter l'altitude (utilisées ici par tous) , et un bon jus de fruits frais à seulement 0.30 €....Bienvenue en Bolivie !!

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5 mai 2012 6 05 /05 /mai /2012 01:21

De retour à Buenos Aires, nous filons directement à l'ambassade afin de renouveler nos passeports...ce qui va s'avérer pas si simple que çà...L'ambassade nous informe que deux types de passeports sont possibles : le premier est un passeport d'urgence, valable un an et délivrable en 48 heures, mais accepté au compte-gouttes (allez savoir pourquoi !)....Le second est un passeport biométrique (le même que nous nous sommes fait voler), mais délivrable en trois semaines ! Nous faisons donc, bien évidemment, une demande pour le temporaire. Nous grimpons ensuite dans un bus direction la Casa Esmeralda, où nous logions lors de notre premier passage à Buenos Aires, nous retombons sur Matthieu, avec qui nous partagions notre chambre il y a de ça environ deux semaines...Nous expliquons nos mésaventures à Sébastien, le très sympathique gérant franco-argentin de l'auberge, qui nous propose de nous avancer de l'argent, qu'on lui remboursera par virement, ce qui nous arrange énormément...Merci Sébastien !!! Le lendemain nous retournons à l'ambassade pour le verdict : passeports acceptés ! Ouf !! Malheureusement pour nos deux amis, Marion et Cedric, leurs demandes sont refusées car un de leurs vols transite par les USA, qui imposent le passeport biométrique...Ils vont devoir alors patienter trois semaines, ce qui n'est bien évidemment pas dans leurs plans...Nous allons donc devoir nous séparer... Nous passons les deux jours suivants à faire du shopping, afin de nous racheter une partie de nos affaires volées, ainsi qu'à ratrapper le retard sur notre blog (grâce au PC prêté de Guillaume, un gas cool de l'auberge), mais également à nous remettre de nos émotions sur les canapés et hamacs de la Casa Esmeralda, accompagnés de la gentille chienne de l'auberge, Mora... Pour nous réconforter, Jérémy, patissier de métier et ami de Guillaume, nous mitonne un savoureux gâteau poires, chocolat, noix à la française....hum !!

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30 avril 2012 1 30 /04 /avril /2012 01:24

Nous arrivons à Salta, l'une des plus belles villes coloniales d'Argentine, accompagnés de Marion et Cedric, précédemment rejoints dans le bus. Située au Sud de la superbe Quebrada d'Humahuaca et au Nord des non moins spectaculaires vallées Calchique, elle est donc une parfaite base pour découvrir ces joyaux...

Salta 2

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Pour notre premier jour sur place, nous visitons le musée archéologique del Alta Montana. Une expédition a permis d'exhumer trois momies de sacrifices d'enfants Quechua, incroyablement bien conservées, à 6739 m sur le volcan Llullaillaco. Elle a permis également de découvrir divers objets, du tissu, ainsi que de superbes jouets rituels.

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Le deuxième jour, nous partons de bon matin, tous les quatre, afin de louer une voiture pour explorer les alentours...mais après plusieurs problèmes rencontrés dans différentes locations de voitures, et vu l'heure tardive, nous décidons de remettre cela au lendemain. Nous retournons donc à notre auberge, nous préparer un barbecue, un peu déçus de devoir écourter notre escapade d'une journée...

DSCN7271Le lendemain, ayant enfin trouvé une voiture de location, nous filons pour deux jours vers la Quebrada d'Humahuaca. Cette somptueuse vallée aride, parsemée de cactus et dominée par de hautes montagnes aux couleurs surprenantes serpente jusqu'à la Bolivie...

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Cette région andine est une Argentine dans l'Argentine, quasiment bolivienne, où le Quechua est encore pratiqué tout autant que l'espagnol. Après avoir roulé une centaine de kilomètres, nous faisons halte dans le petit village traditionnel de Purmamarca, aux maisons de pises ocres (briques de terre sèchées au soleil), logé au pied du cèlèbre Cerro de los siete colores (mont des sept couleurs)...

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De là, nous partons "les mains dans les poches" (ce que l'on va bientôt regretter), pour un petit tour de village, où nous allons y casser la croùte, avec en prime la représentation d'un musicien local sachant jouer de tous les instruments de son village.

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Une fois repus, nous retournons à la voiture, afin de récupérer nos sacs à dos (laissés dans le coffre), pour une petite randonnée dans les montagnes environnantes...et là...mauvaise surprise !...les sacs ont disparu du coffre !...la portière a été forcée entre midi et deux, dans une rue d'apparence tranquille...la catastrophe !!!...plus de passeports, CB, portables, PC, argent....et j'en passe et des meilleures....Notre chance dans cette histoire est que Marion avait gardé sa CB sur elle, ouf !...nous pourrons donc tous "vivre", jusqu'à trouver une solution...merci Marion...Nous nous rendons  à la gendarmerie  porter plainte, puis passons un coup de fil en France pour bloquer nos CB....

Le soir, nous restons dormir sur place, pour essayer de profiter tout de même de ce superbe endroit, en effectuant une courte randonnée le lendemain.

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Une fois de retour à Salta, nous nous renseignons sur les démarches à entreprendre...résultat : retour à Buenos Aires, 1 500 km plus loin, pour refaire nos passeports !....Les boules !! Surtout que nous avions deja les billets pour passer la frontiere bolivienne...

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27 avril 2012 5 27 /04 /avril /2012 23:40

Nous grimpons dans un bus, tôt le matin, direction Salta où nous allons rejoindre un couple de francais, rencontrés à notre auberge d'Iguazu. En chemin, nous allons faire une halte afin de visiter les ruines des missions jésuites de San Ignacio, inscrites au patrimoine mondial de l'UNESCO et qui sont les mieux préservées de toute l'Argentine.

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A partir de 1609 et durant un siècle et demi, la compagnie de Jésus mena dans la jungle Sud americaine l'une des plus grandes expériences sociales de l'histoire. Les jésuites fondèrent des missions, où ils installèrent des communautés d'indiens Guarani afin de les évangéliser et de les éduquer, tout en les protégeant de l'esclavage et de l'influence néfaste de la société coloniale. Voltaire qualifia cet idéal utopique de triomphe de l'humanité semblant racheter les cruautés des premiers conquérants.

Les Guarani tiraient de nombreux avantages, sécurité, nourriture, prospérité à quitter la forêt pour une nouvelle vie dans les missions. A leur apogée, les 30 missions disséminées sur les actuels territoires de l'Argentine, du Brésil et du Paraguay regroupaient plus de 100 000 Guarani. Chaque mission abritait un minimum d'européens, généralement deux prêtres, les indiens se gouvernant eux mêmes sous l'autorité spirituelle des jésuites. Ces derniers n'obligèrent jamais les autochtones à parler espagnol et s'employèrent uniquement à changer les aspects de la culture locale, polygamie et canibalisme, contraires à la morale catholique.

Les Guarani exerçaient l'agriculture, la nourriture était distribuée de manière équitable. Ils occupaient le reste de leurs journées à sculpter, peindre, danser, jouer de la musique et se sont d'ailleurs révélés de véritables artistes.

Le temps des missions prit fin brutalement en  1767, plusieurs facteurs, dont la jalousie des autorités et des colons, ainsi que l'absence de loyauté supposée des jésuites envers la couronne, poussèrent Charles III à bannir l'ordre des territoires de l'empire espagnol.

 

 

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26 avril 2012 4 26 /04 /avril /2012 23:11

Après avoir parcouru environ 4 500  km depuis la terre de feu, aux sommets majestueux et aux terres balayées par les vents, puis être passés par la mégalopole de Buenos Aires, pour ensuite continuer vers la pampa et ses plaines à perte de vue déboulant sur la fabuleuse zone humide d'Ibera, nous voilà à présent à Puerto Iguazu, ville au climat tropical, aux portes des fameuses chutes. 

Ces chutes à cheval entre le Brésil et l'Argentine figurent parmi les sites les plus époustouflants de la planète. Le parc compte plus de 200 chutes sur un front de 2,7 km, qui dévalent dans une végétation luxuriante où les papillons et les arcs en ciel ajoutent de la magie aux lieux.

 Iguazu

Iguazu

Les cascades étagées se jettent les unes dans les autres, tantôt en de minces filets, tantôt en de larges torrents déversant des milliers de litres d'eau dans un grondement impressionnant.

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 Iguazu étant à la limite de l'Amazonie, la biodiversité de la forêt subtropicale est donc très riche, plus de 2000 variétés de plantes, une multitude d'insectes, 400 espèces d'oiseaux ainsi qu'un grand nombre de mammifères et reptiles ont été recensés.

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Iguazu

Iguazu

Les chutes offrant un spectacle différent de part et d'autre de la frontière, nous allons donc les découvrir des deux côtés, en commençant par le Brésil, qui offre des vues panoramiques spectaculaires sur l'ensemble de celles-ci. Nous sommes en admiration devant ce spectacle purement grandiose...

  Iguazu

Nous allons même avoir la chance d'apercevoir des toucans...

toucan

Le lendemain, nous partons à la découverte du côté argentin, qui permet d'approcher les chutes de plus près, sur des kilomètres de passerelles aménagées où les coatis (de la famille des ratons laveurs) en profitent pour chaparder de la nourriture aux touristes...
coatis 2

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En fin de journée, nous nous rendons au clou du spectacle du parc : la gorge du diable ! Une passerelle de 1 100 mètres de long traverse la paisible rivière Iguazu pour mener à ce site, qui est l'un des plus spectaculaires de la planète. La plate forme d'observation surplombe ce torrent d'eau assourdissant, d'une force phénoménale, qui plonge en dégageant une vapeur qui empêche d'apercevoir le pied des chutes, créant un nuage visible à plusieurs kilomètres...

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On ressent alors ici toute la puissance de la nature...et l'on se sent tout petit...

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26 avril 2012 4 26 /04 /avril /2012 00:57

Après toute une nuit de bus, nous arrivons à Mercedes, ville de gauchos, d'où nous allons prendre un 4x4 pour 120 km de piste, afin de rejoindre la réserve del Ibera. Nous partons alors pour le petit village de Carlos Pellegrini, sous des trombes d'eau, rendant la route de terre boueuse et donc très glissante, ce qui fait d'ailleurs la joie de notre chauffeur qui se plait à glisser et déraper !

Le Parc National del Ibera couvre 13 000 km carrés de lacs et marais peu profonds, uniquement alimentés par l'eau de pluie, où se forment des embalsados (îles flottantes formées par l'accumulation de plantes aquatiques), qui abritent une faune et une flore extraordinaire.

paysage ibera

oiseau ibera

Cette formidable zone humide, qui est la plus importante du continent, avec ses multiples écosystèmes, est un lieu idéal pour observer de nombreuses espèces d'animaux comme les caïmans, capybaras (gros rongeurs semi-aquatiques aux airs de cochons d'inde géants), singes hurleurs, renards, loutres, cerfs des marais et de la pampa, ainsi que la majeure partie des oiseaux du pays.

Nous logeons dans une sympathique maison, à proximité du lac, où après avoir posé nos sacs, nous partons pour un petit tour de reconnaissance dans le village. Nous nous baladons à travers les rues de terre boueuses, où nous croisons des dizaines de magnifiques oiseaux colorés, ainsi que des petits cochons d'inde sauvages.

cardinal ibera

oiseau 2 ibera

Les habitants y vivent simplement, dans leurs petites maisons faites de terre, ils tirent leurs minces revenus essentiellement du tourisme, leurs chevaux, qui sont leur principal moyen de transport, broutent librement un peu partout dans le village, accompagnés de quelques ânes et vaches. Après un petit déjeuner en compagnie des oiseaux du jardin et des deux chiens de la maison, nous partons pour une promenade en forêt, où nous prenons plaisir à observer de "craquants" singes hurleurs, espèce malheureusement menacée, comme beaucoup d'autres...

singe hurleur

L'après midi, nous partons pour un tour en barque, avec trois autres français, pour un safari photos, sans appareil photo, puisque le nôtre vient de rendre l'âme...Nous naviguons environ trois heures, à travers de superbes paysages où nous approchons au plus près les animaux qui abondent et qui ne fuient pas à l'arrivée du bateau...nous sommes comme dans un zoo, mais dans un environnement sauvage et naturel...formidable...! De retour à l'auberge, nous "piquons" quelques photos à nos trois compagnons...merci François et André !

capybara

caiman-ibera-copie-1

cerf des marais

Le lendemain, après avoir hésité à rester un jour supplémentaire dans ce paradis des animaux, nous grimpons dans la benne d'un pick up pour trois heures de bosses (haï, haï, haï, les fesses), afin de retourner à Mercedes d'où nous reprendrons un bus pour Iguazu...

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25 avril 2012 3 25 /04 /avril /2012 23:02

 Cà y est, une semaine plus tard et allègés de quelques centaines d'euros et d'affaires, nous voilà repartis, passeports d'urgence en poche, pour de nouvelles aventures, nous partons enfin pour la Bolivie...

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22 avril 2012 7 22 /04 /avril /2012 18:55

La veille de passer la frontière pour la Bolivie et à seulement 100 Km de celle ci, nous nous sommes fait voler nos petits sacs à dos, avec toute notre vie à l'intérieur....résultat plus de passeport, carte bancaire, ordinateur (vachement moins pratique pour le blog), téléphone portable, argent....et j'en passe......Du coup obligés de retourner a Buenos aires a 1500 km pour refaire nos  passeports, ce qui va prendre 3 semaines....LA MERDE !!! Il va donc falloir revoir la suite de notre voyage...La cerise sur le gâteau est que nous n'avons donc plus d'argent et pour nous en faire envoyer chez western union, nous avons besoin de nos passeports, la photocopie ne suffit pas....!....heureusement dans notre malheur, nous sommes accompagnés de deux autres francais dont l'un d'entre eux avait gardé sur lui sa CB !!! Nous prenons donc ce soir le bus pour la capitale et allons à l'ambassade dès notre arrivée pour en savoir plus....à suivre...

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19 avril 2012 4 19 /04 /avril /2012 05:49

Nous arrivons à Buenos Aires, après un rapide vol qui remplaça 36 longues heures de bus pour remonter du Sud du pays. A première vue cette capitale de 3 000 000 d’habitants et 13 000 000 avec sa banlieue, n’est pas vraiment dépaysante. En effet, sa population en grande partie d’origines espagnole et italienne ainsi que son architecture nous rappellent nos voisins d’Europe du Sud. Cette gigantesque ville concentre 75 % des richesses et domine sans partage la vie économique, politique et culturelle du territoire, engendrant des relations tendues avec le reste du pays, d’autant plus mal considéré par les habitants de la capitale.

Mais Buenos Aires est aussi une ville de fête, où les bars et restaurants abondent et ne désemplissent pas jusqu’au bout de la nuit, elle est également, bien évidemment, le berceau du Tango Argentin…Pour séjourner à Buenos Aires, nous avons choisi le quartier de Palermo, l’un des plus branchés…Notre auberge se situe donc au centre de l’animation, où dès la première soirée, nous allons manger et prendre un verre, à minuit (ici c’est une heure tout à fait normale), accompagnés de Matthieu, un anglais très cool avec qui nous partageons notre chambre.

Buenos Aires (3) Buenos Aires (6)

Le lendemain Julien apprend avec joie qu’un match de foot va se jouer ce jour, et que Matthieu, fan lui aussi de foot, veut aller y assister…ils se rendent donc tous deux au stade de la Bombonera, afin de tenter d’acheter des places pour le match…malgré les escroqueries très fréquentes dans ce genre d’opération, ils parviennent à assister au match des Boca Juniors (la fameuse équipe de Maradona)…

Bomboneras (2)

Pour se consoler de passer la journée seule, Gaëlle, après avoir passé un moment dans le jardin à profiter de la chaleur retrouvée, accompagnée de Mora la chienne de l’auberge, part en ville pour une cession shopping et 4h petits gâteaux, au dulche de leche (confiture de lait dont les argentins raffolent et que l’on trouve partout, du petit déjeuner aux pâtisseries en passant par les yaourts aromatisés).

Le jour suivant, après un super petit déjeuner au soleil dans la cour, nous partons à la découverte d’une partie de cette grande ville…

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Durant cette belle journée nous tombons par hasard sur un concert de reggae, dans un parc entouré de petits stands d’artisanats.

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 Le soir, toujours en compagnie de Matthieu, nous nous rendons dans une des nombreuses milongas de la ville, où il est possible de prendre des cours et danser le tango. Nous y passons une sympathique soirée en apprenant les pas de base et en tentant de les mettre en pratique…nous finissons la soirée à l’auberge, avec un bon plat de pates préparé par Gaëlle à 2 heures du matin…

Buenos Aires (10)

Pour notre dernier jour, nous passons la journée à notre auberge franco-argentine où nous nous sentons comme à la maison… Il va être difficile d’en partir ce soir…

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17 avril 2012 2 17 /04 /avril /2012 01:47

Nous arrivons à deux heures du matin à El Calafate, après avoir pris un avion puis un bus…nous nous demandons si nous allons trouver une auberge d’ouverte à cette heure avancée…fort heureusement quelques « rabatteurs » attendent l’arrivée des bus à la gare routière…nous grimpons avec l’un d’entre eux et passons la nuit dans une sympathique auberge, qui a également l’avantage d’être moins chère que ses concurrentes, parfait !

Notre bus pour El Chalten étant en fin d’après midi, nous profitons de cette journée pour nous mettre à peu près à jour sur notre blog…En fin de journée, nous prenons donc le bus pour arriver deux heures plus tard dans un refuge de la petite ville d’El Chalten, aux portes du Parc Los Glaciares, paradis des marcheurs ainsi que de l’élite des grimpeurs qui s’attaquent aux pics du Fitz Roy et Cerro Torre, figurant parmi les plus durs au monde.

El Shalten (24) El Shalten (30)

Après avoir suivi un rythme soutenu pendant un mois, nous allons consacrer trois jours à randonner ainsi qu’à nous relaxer dans notre douillette auberge au pied des montagnes… Durant ces journées, nous empruntons différents sentiers, qui évoluent autour d’impressionnants sommets enneigés sur des terrains ponctués de lacs et couverts de plantes typiques de Patagonie.

El Shalten (15) Fitz Roy 2

El Shalten (8)

Nous traversons également de belles forêts, aux étranges arbres paressant morts au premier abord, mais qui luttent avec force, dans des conditions météorologiques extrêmes, pour tout de même parvenir à conserver quelques branches vertes…Ces arbres, font entre autres, le bonheur de nombreuses espèces de petits oiseaux dont les sublimes pics verts de Magellan…

El Shalten (4)

El Shalten (31)

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